Dans son bureau [libre]

Lord Beckett était asser fier de lui, depuis son arriver a Port-Royal l’ordre avait reprit son cour normale. Toutes les infractions, tout les pardons pour le moindre crime, était a présent rayer. Il y fessait l’ordre et la loi. Toujours traquant le moindre pirate, le moindre hors la loi, pour finir au bout d’une corde, cette corde qu’il adorait : c’était une mort rapide et sans trace. Port-Royal, se soumettait a l’autorité du Lord, de pleins grés ou forcer. Mais il aimait cet force quasi tyrannique, cela l’emplissait d’un sentiments de supériorité qui était devenus sa drogue, son moyen d’oublier tout se qu’il devait oublier de sa vie et qui était pas si simple que cela. De plus il était entourer des meilleurs : son homme de main qui était impeccable, se nouveau Amiral, qui était aussi un soldat rare dans se qu’il avait déjà vu. La seule qui lui manquait devant se pouvoir et cette puissance, était un vide à combler, là dans son cœur de pierre qui se ranimait à chaque foie qu’il pensait a cela.
Son bureau était nickel, pas un grain de poussière, chaque tableau et chaque babiole a sa place, dans son fauteuil il soupirât, fixât un tas de paperasse sur son bureau. Il se levât, et emmenât le paquet au archive, une pièce, où il y avait des boite en bois, où était ranger dossier et autres.

Des pas se firent entendre dans le couloir.Une marche rythmée par une cadence militaire quasi automatique et fort connue dans un endroit comme le fort.Ces murs renfermaient tout de même une bonne partie de l'armée du Royaume d'Angleterre ! Pourtant,ces pas là semblaient moins sûrs d'eux qu'ils auraient dû l'être.Moins appuyés,moins claquants...Comme si le soldat hésitait à avancer dans le couloir qui menait au bureau de son "vénéré" patron.
James Norrington cheminait donc dans le but de voir Beckett.Quoi de plus normal,il était son supérieur hiérarchique,les hautes instances de Port Royal,l'entité qui aurait pu,si elle l'avait voulu,emprisonner le soleil pour laisser le monde étouffer dans l'obscurité.
Deux coups furent administrés à la porte,eux aussi hésitants.Sous le bras de l'officier,des éternels dossiers : le registre des navires ayant accoster aux quais de la ville la semaine passée.Tout à fait banal en soi.Et pourtant,James n'était pas dans son état normal...

Deux coups le firent sortir de ses pensées. Il levas les yeux au ciel en secouant la tête, il maudissant la personne qui venait de le sortir de sa drogue quotidienne qui lui permettait de pas craquer, qui osait le déranger maintenant ?? Qui que se soit, soldat ou noble, cela l’avait rendus encore plus froid de se voir interrompre un moment de répit !!

-Entrer !!

Le mot fut sec et autoritaire et presque méprisant pour une personne qui aurait fait attention au ton de sa voix. Il était vraiment sur les nerfs, fallait avoir une bonne raison et surtout pas jouer avec lui……

**Qui que se soit, je le vire le plus vite possible ! J’ai l’impression qu’ils ne savent pas être efficace sans me lécher les bottes !! Pauvres imbéciles !!**

James entra dans la pièce comme lui intimait l'ordre perçu à travers le bois.Mais c'était un autre Norrington qui franchit la porte : en effet,il garda la tête baissée,contemplant obstinément ses chaussures.Chaque pas semblait lui arracher une douleur insupportable.

-Le compte-rendu des affaires portuaires,Milord.Comme vous me l'aviez demandé.

Sa voix était sans force,sans aucune vie aucune.Lui qui d'ordinaire mettait tant de lui dans son travail,si plein d'énergie et de bonne volonté ! Si confiant,tel un roc,certain d'arriver un jour là où il voulait arriver...Le gradé semblait vidé,un corps sans âme,une machine dont les rouillages s'étaient brusquement bloqués par la faute d'un grain de sable mystérieux.
Lorsque James déposa les documents sur le bureau,il dut bien relever le nez pour regarder son patron : son fin visage était livide,ses yeux d'ordinaire si vifs et si pétillants étaient ternes et lasses,tout son corps avait l'air de ployer sous le poids d'une pensée qui lui coupait toute envie de sourir.D'ailleurs,il détourna le regard pour que Beckett n'y lise pas à quel point il allait mal.Les feuilles de papiers furent déposées en face du Lord...Mais la mains de Norrington tremblaient légèrement.Se rendant compte de sa faiblesse,l'Amiral serra les poings avant de laisser retomber ses bras le long de son corps,la tête de nouveau baissée,attendant une remarque désobligeante et cinglante de la part de son employeur.

-Autre chose,monsieur...?

Il tournât la tête pour voir qui entrer : c’était son fidèle Amiral, le plus douer et efficace. Mais aujourd’hui Beckett n’était vraiment pas d’humeur ! Il ne dit pas un mots lorsque la paperasse se posât sur son bureau, seul un imperceptible soupire soulevât sa poitrine. Puis il relevât la tête vers l’officier, et le fixât un moment, il avait quelque chose de changer, il n’avait pas cette………comment dire, cette joie de vivre que d’habitude.

-Que vous préoccupe t’il Amiral pour que cela joue sur votre environnement de travail !! Vous savez qu’on ne veut pas de chochotte ici, si vous avez un problème régler le au plus vite !! Nous ne pouvons pas perdre de temps.

Sa c’était fait, on avait besoin de personne motiver ans la Compagnie et si un élément comme Norrington se laisser aller, les autres suivrait et cela serait mauvais !! Soit les troupes se ressaisisse soit elle sont retirer de leurs fonction a eux de voir !!

Il encaissa sans rien dire,comme à chaque fois,sans un mot,sans une once de colère.James admettait parfaitement qu'un tel état était tout bonnement effroyable pour son métier et pour les tâches qu'il avait à accomplir,mais...Il n'arrivait pas à...Passer par dessus.C'était trop gros,ça lui nouait l'estomac,lui bloquait la gorge.Le pire ? Il savait à peine pourquoi il se sentait ainsi,si piteux,si sombre !

-Rassurez-Milord,vous oeuvrez déjà pour résoudre ce problème.D'ailleurs,le monde entier lutte pour mon cas.La planète entiète tourne pourqu'il se résolve,mais je m'entête,je m'offusque,je résiste...

Le militaire secoua la tête : qu'il se réveille ! On avait besoin de lui,là,maintenant,en pleine possession de ses moyens ! S'imposant un garde à vous rigide et impersonnel,il regarda droit devant lui.Qui sait,peut-être qu'en se concentrant intensément sur un point fixe,cela passerait...Ou serait pire...

-Le médecin du fort m'envoie également vous dire qu'un cas de scarlatine a été repéré parmis les rangs.Un palfrenier en est déjà mort,il craint pour la santé des jeunes engagés.En votre nom,je lui ai recommandé de passer outre,la Compagnie n'ayant pas besoin de bras cassés en son sein...Que ceux qui devaient trépasser trépassent sans demander leur reste...Après tout,si tel est leur souhait le plus profond...

Bien évidemment,James n'avait pas formulé la chose comme cela au médecin,mais Lord Beckett avait une façon bien à lui de régler certains problèmes...

-Bonne décision Amiral, pour une foie vous avez bien vus. Si il y a temps de personne atteinte qu’elles arrêt leurs services des les premiers symptôme, j’espère que vous n’êtes pas atteint cela serait fâcheux pour vous et votre avenir professionnel. Et il faut aussi absolument régler votre problème sinon je le ferait moi-même…………

Ce qui est simple : lui retirer son grade comme cela il pourrait déprimer tant qu’il voulait et cela ne générât pas son travaille. Oui vous devez penser qu’il est cruel est sans cœur, mais il est comme sa, mais bien horrible lorsqu’on le dérange, être sur les nerfs n’est pas bon aussi bien pour lui que pour les personnes autour de lui. L’Amiral, va en prendre un grand coup si il n’obéit pas au moindre ordre et désir de son patron.

Le regard acier de Norrington se fit rêveur,tout en glissant au sol.Reconnaître que l'on a problème n'est-il pas déjà un premier pas vers la résolution de ce fameux problème ? Il soupira doucement,et un sourire lointain apparut sur ses lèvres,le premier depuis longtemps.

-Oh,non,Milord...Ce n'est point la scarlatine qui m'habite...C'est un mal plus ancien,si ancré en moi qu'il est devenu moi...Si je le tue,je ne suis plus...Chaque homme l'a rencontré dans sa vie,même inconciemment,et au fond,nous n'espérons que cela...Au fond,notre existance ne tourne rond que pour nous mener à cela...Même si c'est une impasse...

Trois jours auparavant,James avait apperçu Elizabeth au marché.Il s'était posté contre un mur,dans l'ombre,pour mieux la voir.L'observer rire,sourire,être heureuse...Tant de bonheur...Et le gradé s'était rendu compte à quel point il aurait voulu être la cause de tout cela,être à ses côtés pour vivre de telles choses,au lieu de rester loin,dans le noir si froid...
Il n'avait pas dormi les trois nuits suivantes,observant le plafond,allongé dans son lit,sans trouver le sommeil.Trois nuits blanches passées à songer à ce qu'aurait pu être sa vie,à quel point il se détestait,à quel point il voulait changer les choses sans en avoir le pouvoir...

-J'en mourrai un jour,très certainement...Mais pour le moment,si vous le permettez,Milord,je suis à votre entière disposition.

HJ:je suis désoler ma pucy mais je n'ai du tout d'inspit je reposterait quand j'aurais des idée^^

Hj : okay,pas de souçi ! ^^

Cutler eu un imperceptible soupire, en plus d’être chochotte, l’Amiral était ennuyant et trop bavard a son goût. Il s’étalait encore et toujours, il fessait perdre du temps et ce qu’il disait était d’une lassitude, si il veut parler de sa vie qu’il voit Philosophe et fiche la paix au autre (a l’époque les mal aise psychologique était pris en charge par les philo, les psy existait pas^^). Qu’il prenne au exemple sur lui, malgré tout se qu’il avait vécut aussi mentalement ou physiquement il avait toujours fait face, c’était battu, et en rien il avait barber les autres avec cela, il avait sûrement endurer bien pire que l’Amiral et avait prit sur lui.

-Et bien au lieu de vous laisser faire par se mal inconnu combattez le, croyez vous vraiment qu’un soldat aussi……..fragile et simple que cela est utile ici ?? Si j’étais comme vous cela ferait longtemps que la Compagnie serait foutu à cause de ses futilités. Sauf si vous avez quelque chose d’intéressant à me dire autre que votre plainte mécréante vous prouver sortir.

Et depuis le début de son discours, il n’avait pas bougé, fixant le vide sans une once de sympathie dans la voix, neutre.

Ah,pauvre Lord...Pauvre,pauvre Lord...N'avait-il toujours pas saisi ? Quel dommage,lui qui avait tellmeent de jugeotte à revendre...Il n'arriverait jamais à acsser Norrington.Peut-être physiquement,en l'abrutissant de tâches ingrates et la borieuses,peut-être une partie moralement,en lui sappant l'entrain et la joie procurée par le travail bien fait.Mais il resterait toujours une petite flamme de révolte,un petit havre de paix au fond du coeur de l'Amiral qui l'empêcherait de sombrer,qui contrecarrerait le splans de Beckett.Cette epnsée,c'était Elizabeth.L'Amour donne des ailes,parait-il.En tout cas,il barricadait l'anglais dans une forteresse protectrice,loin de toutes les attaques et de toutes les bassesses de son patron.James ne lui en voulait même pas ! D'ailleurs,il lui sourit.Une ombre de sourire serein,un brin amère.Mélancolique...Oh,qu'un jour son employeur connaisse ce mal si doux et si tendre ! Qu'il en souffre comme lui....Non pas pour être malheureux,mais pour chanter avec lui ses louages et avouer à quel point il était beau et mystérieux...

-Fort bien,monsieur.Je vous laisse donc,avec votre permission.Vous savez où me trouver...

Quel drôle d'état qu'était celui dans lequel était plongé Norrington ! Pas vraiment de l'euphorie,mais pas non plus le désespoir el plus noir.Comme si son corps avançait sans la tête,comme si son esprit s'était libéré de toute ses attaches,enveloppe charnelle y comprise.Le Ciel savait où il se trouvait à cet instant ! Dans ses souvenirs,certainement...Les revivant à l'infini,sans arrêt,sans se soucier de la réalité si désastreuse et si peu agréable...
James salua rapidement en claquant des talons avant d'avancer vers la porte,toujours souriant,toujours aussi rêveur.Non,ce n'était pas aujourd'hui que Beckett le ferait tomber à genoux ! Peut-être jamais,d'ailleurs...Mais il ne faut jamais jurer de rien.Une fois dans le couloir,il inspira un grand coup et,après avoir refermé la porte,se mit en marche vers son bureau.Et pis non,il faisait beau,autant en profiter.Tout en sifflotant,Norrington prit la direction des rues de Port Royal.

hj: je remercie mes Dieu perrukien que le sujet soit terminer car t'est paver..............

Hj : Amen,ma soeur... XDDD Nan,'scuse moi... Embarassed

hj: LOL pas grave^^ j'arrive pas a t'en vouloir^^

Hj : Faut-il que je me flagèle,maître ? "xDDDDDDD Non,sérieusement...Je ferais un effort la prochaine fois ! Very Happy

HJ: mais t'es malade!! non je t'ai dit que c'était pas grave^^